Les Cimes de la Cochette sont une destination déjà Haute Montagne. Pas d'alpinisme proprement dit: il suffit de savoir progresser sur une arête rocheuse.
Du col de la Croix de Fer, l'aller-retour est faisable dans la journée mais il est tellemement plus plaisant de savourer des moments sur les crêtes un soir d'été.
Avec un peu plus de poids pour le matériel à bivouac, on enchaîne deux belles journées dans un cadre magnifique.
Cette balade emprunte le cheminement classique en direction du glacier. Puis après le deuxième lac, on passe entre deux barres rocheuses où de nombreux cairns ont été élevés. Il ne reste plus qu'à remonter la combe
où le glacier s'est retiré. De ce fait, la clapierre n'est pas stabilisée et il y a pas mal de cette farine de roche typique des zones délaissées par les glaciers.
Un beau panorama nous attends au col des lacs: le glacier de Saint Sorlin et les Aiguilles d'Argentière.
Photo de droite: en montant dans les rochers au dessus du 2ème lac.
Le bas du glacier de Saint Sorlin.
Le petit lac dans le vallon de l'ancien glacier de Côte Blanc.
Arrivé sous les Cimes de la Cochette, on domine ce qui reste du glacier.
En cette fin d'été, il ne reste qu'une patinoire de glace noire.
Vue depuis les crêtes, avec le lac de Grand Maison en contrebas.
Variations de couleurs sur le glacier de la Cochette peu avant la fin du jour.
Les rochers s'enflamment.
Les faces nord de la Cochette au soleil couchant.
Les vallées sont déjà plongées dans l'obscurité.
Le soleil se couche.
Ca y est il a disparu.
C'est l'aube, les premières lueurs.
Le Mont Blanc au réveil.
Le glacier de la Cochette en montant les arêtes.
Depuis les crêtes, on domine le Grand Sauvage.
Les Cimes de la Barbaratte, l'Etendard.
Equipement rudimentaire, encordé à l'ancienne, la corde n'est là que pour rassurer pas pour assurer.